On pourrait d’ailleurs commencer par : « pourquoi pas vous ? ». Avez-vous réellement passé une semaine ou plus sans écran (y compris les GPS) au cours des 6 derniers mois par exemple (hors endroits où il n’y a pas de réseau bien entendu et « la semaine sans écran ») ? Si vous répondez NON à cette question, alors ce qui suit vous concerne sans doute !
PARENTS
Les difficultés liées à une mauvaise ou une sur utilisation des médias par les jeunes, associée à un élargissement chaque jour plus grand du fossé qui les sépare de leurs parents (connaissances, perceptions, …) justifieraient à elles seules une intervention auprès de ces derniers. Cependant, il s’avère que le phénomène ne s’arrête pas au cadre éducatif familial, il paralyse les apprentissages, construit leur quotidien sur des bases aléatoires, fragilise la mise en actes de leurs aptitudes. Dans les cas les plus préoccupants, les troubles se déclinent en perturbations psychologiques (addictions, phobies scolaires, sociales, …) voire psychiatriques (passages à l’acte sur soi ou sur autrui, …) et même juridiques (délits, micro violences, harcèlement, …). Des effets directs sont également constatés sur la fratrie, l’entourage.
Vous comprenez mieux : « pourquoi vous : parents ? » !
Plus-value pour vous :
- déculpabilisation,
- adaptation de l’éducation à la réalité contextuelle,
- évitement des pertes de temps (en cherchant l’information seuls par exemple, en tâtonnant d’une méthode à l’autre, …)
ENSEIGNANTS, ÉDUCATEURS ET PERSONNEL SCOLAIRE
Ils sont directement concernés par les retombées « acides » d’une sur ou mauvaise utilisation des médias par leurs élèves. Nous avons de nombreux témoignages d’enseignants à bout de force, devant déployer une énergie considérable à maintenir l’attention de leurs élèves sur le temps d’un cours. Certains en viennent à adopter quasi intuitivement les attitudes à tenir en cas de Déficit d’Attention ou d’Hyperactivité de leurs élèves, mais au prix d’une grande déperdition énergétique. Ca c’est pour le moins grave, mais que dire et que faire lorsque l’enfant est en chute ou rupture scolaire, n’assiste plus aux cours, déprime, est addict, … ? Ou bien lorsque c’est la liberté d’autrui qui est bafouée à travers des actes d’ « incivilités », de passages à l’acte, de harcèlement, de provocations, …? Ces personnes doivent alors gérer des difficultés qui ne sont plus uniquement dues à leur profession mais à des facteurs externes et contextuels auxquels ils ne sont pas préparés au cours de leurs études. La plupart ressentent de l’amertume, certains de la tristesse, de la colère et nombreux sont ceux qui vivent un sentiment d’incompétence professionnelle.
Ainsi : « pourquoi vous enseignants, éducateurs et personnel scolaire », prend peut-être une autre tonalité !
Plus-value pour vous :
- gain de temps et de crédibilité (obtenir une pré sélection des informations les plus pertinentes),
- plus d’écoute de la part des élèves, plus d’attention,
- une plus grande acceptation et application aux devoirs,
- moins d’absentéisme pour les adolescents
- plus d’efficacité dans le travail scolaire
- augmentation de votre sentiment de compétence
PROFESSIONNELS DU SECTEUR SANTÉ, ASSOCIATIONS ET AUTRES (si utilisation ou lien avec le multimédia)
Peut-être avez vous déjà lu ce qui précède parce que vous faites aussi partie de l’une des autres catégories ? Auquel cas, le cumul justifie d’autant plus votre intérêt pour les actions que nous proposons (informations, formations, conférences, dans nos salles ou les vôtres). Les causes de vos intérêts pouvant dans cette catégorie, être très variées, nous nous concentrerons sur les avantages que vous pourrez en retirer.
Plus-value pour vous :
- avoir un discours commun sur le sujet,
- avoir des références plus cohérentes et ainsi plus d’efficacité dans vos actions,
- engager plus de concertation avec vos interlocuteurs
- favoriser la complémentarité et la synchronisation dans les actions engagées,
- reprendre le contrôle et vous assurer une estime de vous plus satisfaisante.